Musique, Sandrine Quétier prochainement premier album Hard To Follow

 

Musique, Sandrine Quétier

Et Sandrine devint QUÉTIER

Avec  son  premier  album “Hard To Follow”  à paraître le 29 mars 2024, Sandrine devient QUETIER. Un projet musical résolument rock, naviguant entre les accords brûlants des  Kills,  les  riffs  ravageurs  des  Pixies  et  les  basses  hypnotiques  deRadiohead.

Une maison de maître du 19ème siècle, son atmosphère cosy et son gros chien, en pleine verdure des Deux- Sèvres. Logés sur place, en ce printemps 2023, Sandrine Quétier et le producteur James Eleganz enregistrent chez Paraphernalia les voix de l’album «Hard To Follow», qui sort au printemps 2024 sur ZRP, le label d’Isabelle Chapis.

Avec ses baies vitrées ouvertes sur la campagne et sa console dans la pièce, sans séparation, la grange transformée n’a pas les airs de bunker des studios habituels. L’œil sur un pré et l’oreille à portée des encouragements de James,Quétier baigne dans un climat idéal pour peaufiner son premier album.

Après vingt années de télé et cinq de cinéma, les micros et les instructions dans l’oreillette, elle connaît. Le chant rock aussi, grâce à ses expériences au sein du groupe de reprises The Jokers, avec des copains des médias, et de Molly Pepper, auteur d’un EP chez ZRP en 2022.

Mais cette fois, Sandrine veut devenir QUÉTIER. Changement de décor pour un changement tout court. «C’était le bon endroit au bon moment, s’enthousiasme-t-elle. Sa configuration correspond à mes envies d’émancipation : ouvert, parce que je me lance dans un nouveau métier où tout est possible ; et décloisonné, car je n’abandonne pas mes autres passions, la comédie ou l’écriture.» Une conviction incarnée par le titre de l’album : « Je peux paraître ‘difficile à suivre’ mais en réalité ces différents univers se répondent et se nourrissent. » Le cadre de Paraphernalia autorise l’audace, comme enregistrer à l’aube la délicate ballade « Mountains », qui évoque la mort de son père. L’idée vient d’une remarque du célèbre producteur Daniel Lanois (U2, Peter Gabriel) : « Pour lui, les prises à 6 heures du matin captent l’émotion sans filtre, raconte James Eleganz. Sur ce titre, la voix est fragile, presque cassée. On entend même les oiseaux et le cri du paon dans le bois voisin... »

Ce studio pas comme les autres récrée la spontanéité du tout premier titre réalisé, « No Fear », chanté dans la salle de bains d’un Airbnb où Sandrine, James et François Pavan, un ancien complice de Molly Pepper, s’étaient réunis pour ébaucher le disque. Au total, l’identité vocale donne son unité à un album très éclectique, entre chansons intimistes, morceaux rock et escapades presque disco portées par la basse placée très en avant. « Cet instrument, c’est le cœur qui bat dans un morceau, explique Sandrine. Sa forte présence, je l’ai voulue lors du mix final, à Bruxelles. » De la co-composition de plusieurs morceaux aux ultimes arbitrages sur les arrangements et le son, comme la tonalité électro de «American Psycho », elle a en effet tenu les manettes de son disque. Pas son style de se laisser imposer un album de reprises convenues, comme on l’avait déjà proposé à « la fille de la télé ». Sandrine savait exactement ce qu’elle voulait, avec en tête quelques grands noms du rock au féminin : « Blondie, The Kills, les Pretenders... et un peu de Fleetwood Mac ».

Musique, Sandrine Quétier

 Crédit : *© Marie Quiniou

Autour de cette « bosseuse qui décide vite », dixit James – « mon surnom, c’est Terminator ! » rigole-t-elle – ces treize titres réunissent deux guitaristes complémentaires, Goulven Hamel et Gaëtan Grandjean et un claviériste Bastien Bruneau-Larche, entre riffs rock et climats plus atmosphériques, devant les micros de l’ingé son Paul-Édouard Laurendeau, pilier du studio ICP de Bruxelles. Associée au projet depuis le début, cette bande a fonctionné au studio rennais Disco Casino dans une atmosphère de groupe, où chacun apporte sa contribution, où les rôles s’échangent au fil des instrumentaux et des chœurs.

Aujourd’hui, Sandrine Quétier brûle de porter « Hard To Follow » sur scène : « Je suis prête pour 80 dates ! Jouer en public, c’est le moment de vérité » À côté des tonalités indé des ballades ou du morceau-titre, l’album comprend justement des hymnes taillés pour le live, comme « Walkin’ On A Wire » ou « Change ». Sans oublier « Shoot Again », comme une invitation à tout recommencer.

 Sandrine Quétier

SANDRINE DEVIENT QUÉTIER

NOUVEL ALBUM : HARD TO FOLLOW

LE 29 MARS 2024

 QUÉTIER EN CONCERT :

17 JANVIER 2024 / PARIS / LA DAME DE CANTON
28 MARS 2024 / PARIS / WEARE


Crédits photos et vidéo : Artwork and graphic design by Jerome Sachs and Studioburo
Manufacturing by Kuroneko Phonogram Manufacture
Distributed by Kuroneko - (P)& (C) 2023 ZRP - Sandrine Quétier

Sauf *© Marie Quiniou

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