The Sadness, critique film
THE SADNESS
Synopsis :
Après un an de lutte contre une pandémie aux symptômes relativement bénins, une nation frustrée finit par baisser sa garde. C'est alors que le virus mute spontanément, donnant naissance à un fléau qui altère l'esprit. Les rues se déchaînent dans la violence et la dépravation, les personnes infectées étant poussées à commettre les actes les plus cruels et les plus horribles qu'elles n'auraient jamais pu imaginer...
Rob Jabbaz est à l'origine de ce film d'horreur. Ce réalisateur Canadien nous propose son premier long métrage et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'y va pas de main morte !!!
Parmi les interprètes Berant Zhu (Jim) que l'on a déjà pu voir dans How to train our Dragon, We art Champions. Il a déjà été nommé dans la catégorie meilleur espoir masculin au Tapei film festival, ce qui lui annonce une carrière prometteuse.
Regina Lei (Kat) est l'actrice principale de The Sadness. Elle était connue jusqu'à présent pour son rôle dans Horror Bookstore.
Parmi les autres comédiens : Tzu-Chiang Wang (l'homme d'affaires), Ying-Ru Chen (Molly). Ce film lui offre son premier rôle au grand écran.
Accrochez-vous si vous allez visionner ce film car il démarre très fort et va crescendo. On sursaute souvent, l'hémoglobine est présente à tous les coins de rues et ce film ne vous laisse pas un moment de répit.
Étant donné les personnages on pourrait croire que The Sadness est un film de zombies, mais il n'en est rien. Les humains qui deviennent sanglants sont atteints d'un virus ce qui fait d'eux ces monstres.
La violence est omniprésente dans ce film.
Comme le cite le réalisateur :
"...The Sadness parle de cruauté, et trouver le bon ton à adopter était crucial. Dans le premier Evil Dead, le ton est plutôt second degré, alors que dans le remake de Fede Alvarez, c’est plus sérieux. Certains aiment moins, moi au contraire je pense que c’était plutôt une bonne idée. J’ai essayé de faire la même chose avec The Sadness, en pensant également au cinéma d’exploitation hongkongais. Je pensais évidemment à Ebola Syndrome..."
Propos recueillis par Kelly McNeely
Entretien extrait du site ihorror.com
Évidemment en visionnant ce film, nous ne sommes pas sans penser à la Covid qui a bouleversé la vie du monde entier.
Ce film est à prendre au second degré, et le réalisateur tenait à faire passer un message tout en allant très loin dans certaines scènes.
Pour les amateurs du genre, mais attention âmes sensibles s'abstenir.
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