Cinéma, Aya et la sorcière prochainement sur Netflix - Critique
Ce charmant film d'animation Aya et la sorcière, à défaut de sortir sur grand écran, sera visible sur Netflix à compter du 19 novembre prochain
Réalisé par le Japonais Goro Miyazaki ce film se regarde aisément.
Synopsis :
Aya a grandi dans un orphelinat douillet depuis qu’elle est bébé et ne sait pas que sa mère avait des pouvoirs magiques. Aimée et choyée, la fillette de 10 ans n’a jamais voulu quitter son cocon et son cher ami Custard. Espiègle, rusée, elle mène son petit monde par le bout du nez !
Lorsqu’un couple étrange vient l’adopter, Aya se rebelle et suit sa nouvelle famille à reculons… Mais que peuvent bien cacher ce mystérieux Mandrake et cette inquiétante Bella Yaga ?
Au rythme des enchantements, une aventure extraordinaire attend l’adorable effrontée… car ses prétendus parents ne sont autres que des sorciers !
On s'attache rapidement à cette petite sorcière qu'est Aya. Cette héroïne, âgée d'environ 10 ans. Une fille effrontée mais adorable, qui a l'intelligence et le talent pour manipuler les gens, et la volonté de ne jamais abandonner. Son vrai nom est Manigance, mais elle l’ignore. Le surnom d'Aya Gance lui a été donné par la Directrice du foyer, qui n'aimait pas l'idée d'une enfant dont le nom implique de manipuler les gens.
Parmi les autres personnages on trouve : BELLA YAGA, une sorcière qui gagne sa vie en vendant ses diverses concoctions magiques douteuses.
THOMAS, Un chat noir, animal familier attitré de Bella Yaga. CUSTARD, un garçon extrêmement timide, élevé dans le même foyer qu’Aya. LA MAMAN D’AYA, une sorcière aussi belle que "cool".
Ce film d'animation inspiré d'un roman Diana Wynne Jones, m'a convaincue avec ses histoires de sorcières, potions magiques et autres.
J'ai été assez surprise des critiques que j'ai pu lire, mais peut-être ne suis-pas assez pointue dans le cinéma Japonais et surtout d'animation car celui-ci je l'ai visionné avec plaisir.
Chaque personnage a un caractère très affirmé ce qui fait souvent des étincelles. Quand des caractères forts se confrontent ça mène souvent a des scènes ou personne ne veut céder.
Ce film d'animation, se passe surtout en huit-clos et j'aurais du mal à donner un avis sur les effets techniques car je ne m'y connais pas assez.
Pour ma part, les couleurs toujours très vives, les images de synthèses m'ont plues ainsi que le décor et les personnages.
Justement par rapport à d'autres films du genre, cet effet en 3D ne m'a pas dérangée.
Au niveau de la musique c'est Satoshi Takebe qui a été chargé de faire cette dernière.
L'histoire maintient l'attention du spectateur et Aya, bien qu'ayant une forte personnalité est attachante.
Bien entendu, bien qu'étant dans une réalisation Japonaise, on ne retrouve pas trop les codes de ce pays. Nous sommes en Grande-Bretagne, les personnages n'ont pas les yeux bridés mais en cela le réalisateur a su se différencier.
On parle beaucoup d'un genre de film Ghibli, qui est un studio mondialement connu, avec un certain genre mais je ne me suis pas attachée à savoir si Aya et la sorcière rentrait dans les codes.
La fin peut surprendre et on peut se demander si il n'y aura pas une suite mais personnellement le plaisir fût là, c'est mignon, enfantin certes, mais visionner un film sans déplaisir c'est pour ma part le principal.
Crédits photos et vidéo : Copyright Studio Ghibli - Wild Bunch
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