Pour ma part j'ai découvert l'artiste il y a quelques mois, en avril plus précisément, lors de la représentation d'une pièce "Kevin et Tom", un spectacle détonnant et hilarant en compagnie de son acolyte Kevin Levy.
Ce jeune homme sait tout faire : jouer la comédie et de la musique, chanter, faire le clown, imiter, beau mec, le fils de n'a rien à envier à son célèbre père et il nous propose son premier EP pour le 21 septembre.
Tom Leeb a tout d'une révélation. Déjà reconnu comme comédien et comique, Tom Leeb dévoile désormais aussi ses talents de guitariste et de chanteur folk/rock. Sa musique est organique, chauffée aux
cordes sensibles des guitares acoustiques et des six-cordes saturées.
Tom Leeb verse dans le blues-rock léché qui tire vers la pop avec ses somptueux
arrangements de cordes et de synthés. Un rock
mélodieux et populaire dans la lignée de son idole John Mayer.
Après Go On, son single Are We Too Late qui cumule déjà plus de 20 millions de vues sur Youtube, est enfin illustré d'un clip.
En quête de sens dans Are We Too Late, Tom Leeb
se retrouve seul face à son passé. Explorant ses souvenirs d’une
idylle, il part à la conquête d’un amour perdu. La guitare est sa
conscience, la musicalité est sa mélancolie, le tout représentant
l’harmonie de ses sentiments.
En guise de final, des lettres laissées
dans l’inconnu et la magnifique lumière d’un soleil couchant, pour
finir sur une d'espoir, en se laissant ensorceler par la voix caressante
de Tom Leeb.
Sa musique
est organique, chauffée aux cordes sensibles des guitares acoustiques et
des six-cordes saturées, à mille lieues des bidouilles et des modes
électro. Tom Leeb verse dans le blues-rock léché qui tire vers la pop,
aux arrangements de cordes et de synthés sobres mais fouillés. Un rock
mélodieux et populaire dans la lignée de son idole John Mayer, dont « la musique universelle, qui prend aux tripes » l’incita à composer ses propres hymnes.
Tom aime les
couplets chantants et les refrains entêtants («How Long» et «Swear»),
plutôt melody maker que bad boy brûleur de riffs. Pas question de
prendre la pose : «Je ne suis pas un rockeur pur jus, j’aime le côté
propre et esthétique des productions, à l’image des musiques de film
dont je suis un grand fan.»
Pas d’orchestre grandiloquent sur ce premier projet, le storyteller a opté pour la mise à nu en mettant sa voix au premier plan, plein fer, sans filtre ni mélopées forcées : «Je voulais dévoiler une autre facette de ma personnalité, une nouvelle étape de mon parcours artistique, sans jamais m’éloigner de l’authenticité. A l’image du titre «How Long», qui parle de la patience et de la perception du temps, ce projet se veut intemporel, il n’a ni unité de temps ni de lieu.»
Pas d’orchestre grandiloquent sur ce premier projet, le storyteller a opté pour la mise à nu en mettant sa voix au premier plan, plein fer, sans filtre ni mélopées forcées : «Je voulais dévoiler une autre facette de ma personnalité, une nouvelle étape de mon parcours artistique, sans jamais m’éloigner de l’authenticité. A l’image du titre «How Long», qui parle de la patience et de la perception du temps, ce projet se veut intemporel, il n’a ni unité de temps ni de lieu.»
Des émotions
à fleur de peau pour des chansons universelles. Tom raconte en
filigrane un amour contrarié par la distance. En tant qu'artiste, il ne
jure que par les élans du coeur, évoque au chapitre des influences les
Ben Howard, Bon Iver, Matt Corby, mais aussi quelques jazzmen (Frank
Sinatra, Gene Harris, Jamie Cullum), lorgnant la côte Est américaine,
dans le sillon d’un père féru de la blue note. L’un au swing, l’autre au
groove. Ces deux-là se ressemblent, deux frenchies vagabonds, toujours à
l’aise dans leurs baskets quels que soient les arts appliqués.
Pour Tom, il
était hors de question de se cacher derrière un nom de scène, de taire
ce père dont il est «fier». Chez les Leeb, on juge sur pièces.
D’ailleurs, les carrefours lui font bien moins peur que les chemins
balisés.
A 18 ans, il part vivre à New York pour étudier le théâtre
et le cinéma. C’est là, downtown Manhattan, qu’il commence à taquiner la
guitare qu’un ami lui prête et que la musique prend corps. Depuis, il a
tourné dans plusieurs séries et films, fait du one-man-show, du stand
up et monté un duo comique (Kevin & Tom, «des Laurel et Hardy
modernes sous l’emprise d’un gaz hilarant saupoudré d’amphétamines»).
Tom le touche-à-tout écume les scènes en se moquant royalement des chapelles, faisant le grand écart entre sketchs hilarants et ballades mélancoliques, traits d’esprit et tripes en dehors. Le labo Leeb. «Dans la musique, je suis dans le registre de la poésie, mon côté un peu plus sombre ; dans le stand up, je m’inscris dans l’humour, l’explosion. Cela n’a rien d’antinomique. Pourquoi vouloir toujours tout séparer, diviser ? Limiter sa palette d’émotions ? ».
J'avais écouté certains morceaux dès le mois d'avril et j'avoue que j'adore et j'adhère à ce qu'il fait. Le futur Mr je sais tout faire des années à venir j'en suis certaine. Une belle carrière s'offre à lui !!!
Tom le touche-à-tout écume les scènes en se moquant royalement des chapelles, faisant le grand écart entre sketchs hilarants et ballades mélancoliques, traits d’esprit et tripes en dehors. Le labo Leeb. «Dans la musique, je suis dans le registre de la poésie, mon côté un peu plus sombre ; dans le stand up, je m’inscris dans l’humour, l’explosion. Cela n’a rien d’antinomique. Pourquoi vouloir toujours tout séparer, diviser ? Limiter sa palette d’émotions ? ».
J'avais écouté certains morceaux dès le mois d'avril et j'avoue que j'adore et j'adhère à ce qu'il fait. Le futur Mr je sais tout faire des années à venir j'en suis certaine. Une belle carrière s'offre à lui !!!
Crédits photos et vidéo : Tom Leeb - Roy Music
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