The Hot Sardines ça swingue avec "Wake up in Paris"
J'aurais dû m'avancer dans mes posts avant mon départ en congés, mais le temps m'a cruellement manqué, c'est donc de congés que je fais ce post en vous envoyant un peu de soleil et de chaleur.
Ce jour j'ai envie de vous parler musique. J'aime beaucoup de genres, et il faut qu'une chanson me touche.
Lorsque j'ai écouté "Bei mir bist du schoen" j'ai adoré, ça swingue comme il faut, le clip est top et t'emporte dans leur style de musique. Bref j'aime "The Hot sardines", rien que leur nom m'enchante.
Un superbe groupe de jazz qui s'apprêtent à sortir chez Decca/Universal Music Classics leur premier album mais ça promet.
Produit par Eli Wolf (Norah Jones, Elvis Costello & The Roots, Al Green), ce disque éponyme mélange des classiques du début de l’histoire du jazz et des morceaux originaux composés par le groupe lui-même. « The Hot Sardines » constitue une étape charnière dans le parcours de cette formation qui est d’ores et déjà parvenu à partager sa passion pour la musique d’une autre époque avec un large public, aux quatre coins du monde.
Accompagnés par le Sardine Ensemble, le pianiste Evan « Bibs » Palazzo et la chanteuse Miz Elisabeth jouent le jazz comme à l’époque où la musique s’écoutait principalement en live. Véritable virtuose du piano stride à la Fats Waller, Palazzo dirige la section rythmique et les cuivres d’une main de maître tandis que Miz Elizabeth, chantant tantôt en anglais, tantôt en français, parvient à faire renaître l’atmosphère d’une époque révolue sans se départir d’une modernité rafraîchissante. Le son des Hot Sardines mêle les influences, s’inspirant des musiques jouées à New York, Paris ou la Nouvelle-Orléans, de la prohibition à l’après-guerre. Outre Evan « Bibs » Palazzo et Miz Elisabeth, on retrouve sur l’album Jason Prover à la trompette, Joe McDonough au trombone, Nick Myers au saxophone ténor, à la clarinette et à la flute, Sam Raderman à la guitare et au banjo, Evan « Sugar » Crane à la basse et au soubassophone, Alex Raderman à la batterie et aux percussions, et «Fast Eddy» Francisco aux claquettes.
« Notre style et notre manière d’interpréter les morceaux doivent beaucoup à des géants tels que Fats Waller, Louis Armstrong, Thelonious Monk, Django Reinhardt, Count Basie, Fred Astaire, Mamie Smith, Billie Holiday, les Andrews Sisters, Ray Charles et beaucoup d’autres
musiciens, certains extrêmement connus, d’autres bien plus obscurs », explique Miz Elizabeth.
Avec Bibs, la chanteuse partage une même envie de transformer ces morceaux d’une autre époque en véritables chansons pop on ne peut plus actuelles. Et ils y parviennent avec un talent indiscutable, trouvant l’équilibre subtile entre tradition et modernité : s’ils reprennent des chansons qui pour certaines d’entre elles ont été composées il y a près d’un siècle, leur démarche n’a rien de passéiste. « Nous ne prenons pas cette musique avec des gants », déclare Bibs « Notre but n’est pas de jouer ces morceaux exactement comme ils l’étaient à l’époque...Nous les jouons, c’est tout...comme si ils venaient d’être écrits, pour le public d’aujourd’hui ».
Le premier single tiré de l’album est « Bei Mir Bist Du Schoen », morceau au rythme contagieux rendu célèbre par les Andrew Sisters qui en enregistrèrent une version pour Decca en 1937.
« Notre style et notre manière d’interpréter les morceaux doivent beaucoup à des géants tels que Fats Waller, Louis Armstrong, Thelonious Monk, Django Reinhardt, Count Basie, Fred Astaire, Mamie Smith, Billie Holiday, les Andrews Sisters, Ray Charles et beaucoup d’autres
musiciens, certains extrêmement connus, d’autres bien plus obscurs », explique Miz Elizabeth.
Avec Bibs, la chanteuse partage une même envie de transformer ces morceaux d’une autre époque en véritables chansons pop on ne peut plus actuelles. Et ils y parviennent avec un talent indiscutable, trouvant l’équilibre subtile entre tradition et modernité : s’ils reprennent des chansons qui pour certaines d’entre elles ont été composées il y a près d’un siècle, leur démarche n’a rien de passéiste. « Nous ne prenons pas cette musique avec des gants », déclare Bibs « Notre but n’est pas de jouer ces morceaux exactement comme ils l’étaient à l’époque...Nous les jouons, c’est tout...comme si ils venaient d’être écrits, pour le public d’aujourd’hui ».
Le premier single tiré de l’album est « Bei Mir Bist Du Schoen », morceau au rythme contagieux rendu célèbre par les Andrew Sisters qui en enregistrèrent une version pour Decca en 1937.
Parmi les autres temps forts de l’album, il faut également évoquer les ballades « Wake Up In Paris » (écrite par Miz Elizabeth en hommage à sa ville natale) et « Petite Fleur » de Sydney Bechet, une interprétation aux sonorités calypso de « What a Little Moonlight Can do » ou encore la reprise trépidante « Zazou (Sweet Sue) ». Le groupe a également tenu à rendre hommage à Fats Waller en livrant sa version de « Your Feet’s Too Big ».
Le succès des Hot Sardines a quelque chose d’inattendu. On trouve en effet à l’origine du projet deux amateurs qui n’avaient jusque-là jamais cherché à former un groupe. Avant d’embarquer dans cette aventure, Miz Elizabeth, qui a vécu en France, au Canada et en Côte d’Ivoire, créait des contenus web et se consacrait à l’écriture. Evan, quant à lui, est né et a grandi à New York, commençant le piano dès l’âge de trois ans. Après avoir étudié le théâtre et la comédie musicale à l’Université des Arts de Philadelphie, il devint acteur et gagna sa vie en jouant dans des pièces de théâtres ou des publicités et en travaillant dans la production de films. Jusqu’au jour où, en 2007, Miz Elizabeth et Evan décidèrent, par le plus grand des hasards, de participer au même jam dans une salle de Midtown. « Notre entente musicale a été parfaite dès le début », se rappelle la chanteuse qui s’était éclipsée ce jour-là d’une soirée organisée par son entreprise pour aller chanter. Au fil des années, le groupe prit forme, développant ce style si particulier qui illumine ce premier album.
Le succès des Hot Sardines a quelque chose d’inattendu. On trouve en effet à l’origine du projet deux amateurs qui n’avaient jusque-là jamais cherché à former un groupe. Avant d’embarquer dans cette aventure, Miz Elizabeth, qui a vécu en France, au Canada et en Côte d’Ivoire, créait des contenus web et se consacrait à l’écriture. Evan, quant à lui, est né et a grandi à New York, commençant le piano dès l’âge de trois ans. Après avoir étudié le théâtre et la comédie musicale à l’Université des Arts de Philadelphie, il devint acteur et gagna sa vie en jouant dans des pièces de théâtres ou des publicités et en travaillant dans la production de films. Jusqu’au jour où, en 2007, Miz Elizabeth et Evan décidèrent, par le plus grand des hasards, de participer au même jam dans une salle de Midtown. « Notre entente musicale a été parfaite dès le début », se rappelle la chanteuse qui s’était éclipsée ce jour-là d’une soirée organisée par son entreprise pour aller chanter. Au fil des années, le groupe prit forme, développant ce style si particulier qui illumine ce premier album.
Sortie le 13 novembre 2014 du premier album :
1. Bei Mir Bist Du Schoen
2. Goin’ Crazy With The Blues
3. Wake Up In Paris
4. Zazou (Sweet Sue)
5. I Can’t Give You Anything But Love
6. Your Feet’s Too Big
7. Honeysuckle Rose
8. Petite Fleur
9. What A Little Moonlight Can Do
10. Let’s Go
11. I Don’t Stand A Ghost Of A Chance (With You)
2. Goin’ Crazy With The Blues
3. Wake Up In Paris
4. Zazou (Sweet Sue)
5. I Can’t Give You Anything But Love
6. Your Feet’s Too Big
7. Honeysuckle Rose
8. Petite Fleur
9. What A Little Moonlight Can Do
10. Let’s Go
11. I Don’t Stand A Ghost Of A Chance (With You)
En concert au Duc des Lombards le 13 novembre 2014
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Crédit photos et vidéos : The Hot Sardines et Universal Music Classics Universal Music Classics
hehe oui rien que ce nom, on se dit qu ils sont sympas ! et effectivement c est assez agreable a ecouter!
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